Vous avez été nombreux à raconter vos anecdotes sur la page Facebook et le compte Instagram. Avec toutes ces anecdotes aussi épiques, an a été obligé de faire une compilation des meilleures d’entre elles.
Un jour une cliente voulait un œuf à la pièce. Comme on n’avait plus de boîte par 6 en carton, elle a mis l’œuf tel quel dans son caddie. On n’a pas osé imaginer comment avait fini l’œuf.
Un jour, pendant les fêtes de fin d’année, je suis en caisse. Nous devions nous mettre sur notre 31. J’avais accompagné ma tenue avec un collier de perles fantaisiste et la une cliente me dit “vous savez jeune fille, à mon époque c’était les prostituées qui portaient ce genre de collier”. Je n’ai jamais remis ce collier…
Un jour en rayon, un client me dit : “Ah, vous avez mal au dos ?”. Je lui dis qu’un peu oui. Et là il répond : ” Vous n’aviez qu’à faire études”. Je suis en alternance.
Je travaille en rayon et au bout de mon sixième mois de grossesse, une dame se retourne, recule et choquée me dit : « ben vous, on peut dire que vous êtes pleine ! ». Voilà voilà. Et demain je vais vêler.
Un jour au rayon alcool, on a surpris des jeunes qui buvaient des bouteilles d’eau de 50cl pour les remplir de vodka. On retrouvait les bouteilles d’alcool vide dans le surgelé.
Un jour à l’accueil, un client me demande si le magasin est ouvert jusqu’à la fermeture. Ce à quoi je lui ai répondu que oui. Le client m’a remercié et a raccroché.
Situation de (gros) malaise parfois !
Un jour, au service location de voiture, un client est intéressé, regarde le camion et là il me dit : “En fait, je ne vais pas prendre le camion car il est trop propre et je ne pourrais pas vous le rendre aussi propre et je n’ai pas envie de payer 100€ de nettoyage”.
Un jour en caisse je propose à une cliente de passer à la caisse prioritaire pour les femmes enceintes. Et elle de me répondre : “Mais je ne suis pas enceinte”. Malaise.
Un jour ma collègue servait un couple, et quand je suis arrivée pour changer les plats (rayon charcuterie-coupe), l’homme a dit ” tiens c’est bien une petite jeune comme ça !”. Ma collègue rétorque “Comment ça bien ? Ça fait un peu pervers ce que vous dîtes !”. Il répond : “non mais bien pour son copain ou sa copine ! Enfin je ne sais pas… “. Malaise générale.