Etre présent sur les réseaux sociaux est aujourd’hui considéré comme une nécessité, voire un acquis (de conscience).
Stop au monopole Facebook
La diversification des plateformes est un mal nécessaire. L’entreprise qui met en place une stratégie sur les réseaux sociaux doit s’adapter aux nouveaux usages des consommateurs. Toujours plus volatiles, ces usages changent régulièrement. Pour cela, Facebook ne doit pas concentrer tous les efforts.
Instagram, l’incontournable pour les entreprises physiques
Le réseau pourrait devenir le 1er réseau social dans les 2 années qui viennent. L’émergence des stories annonce une révolution dans le monde des réseaux sociaux. Le modèle traditionnel des Facebook et Twitter, qui était centré autour du partage, devient obsolète. Désormais, il faut s’attendre à quitter le modèle social média tel que nous le connaissons pour basculer vers le modèle des stories, où le partage n’existe pas. Ce qui signifie que la notoriété des comptes Instagram reposera en partie sur le bouche-à-oreille.
Etre créatif
C’est un des principes immuables des réseaux sociaux. Pas de contenu = pas de visibilité et pas de créativité pas d’engagement. La créativité est un socle important d’une stratégie éditoriale. Un pré-requis de poids qui oblige les marques à sans cesse de réinventer pour surprendre leur audience.
Exister sur les réseaux sociaux c’est assurer sa présence H24, 7 jours sur 7 et 365 jours par an. Exister sur les réseaux sociaux impose d’être actif. Mieux vaut ne pas créer de comptes sociaux si vous l’animation n’est pas assuré.
Diversifier ses contenus
C’est un autre pré-requis important. Sur les réseaux sociaux, de multiples formes de contenus sont possibles : des photos, des vidéos, des liens, des Facebook Live, des sondages… ce sont autant de moyens de prendre la parole.
La compréhension des algorithmes
Sur les réseaux sociaux, les algorithmes font la loi de la visibilité des publications. L’algorithme se base du trois piliers pour attribuer de la visibilité aux publications :
- les signaux personnels basés sur l’affinité avec l’entreprise, les centres d’intérêts des internautes et l’interactions de ses amis
- les signaux universels qui s’appuient le poids du post en volume d’interactions, le type de contenu
- les signaux en temps réel qui se réfèrent à la viralité des sujets et des tendances
Les critères sont nombreux. La visibilité dépend ainsi de sa tendance, de sa régularité, du volume d’engagement sur les précédentes publications, de la diversification des contenus. Un critère est essentiel : l’engagement. Pas d’engagement = pas de visibilité sur Facebook.
Cette compréhension de l’algorithme est essentielle. Si il peut avoir ses qualités et il génère aussi de longues frustrations pour les administrateurs de page car les efforts sur une publication ne corrèle pas à son succès.
Sur Instagram, l’algorithme dépend beaucoup de l’affinité que les abonnés ont avec le compte. Ce qui signifie que plus l’abonné cumulera des interactions avec le contenu du compte, plus les publications futures seront affichées. Ce qui nécessite une certaine récurrence dans la fréquence des publications. En-dessous de 3 publications semaines, la visibilité et le développement du compte se restreint.