Dans les rayons de la grande distribution, l'heure est à la nostalgie. Des marques iconiques font actuellement leur grand retour après des années de disparition : c'est le cas de Figolu revenu en 2020, Merveilles du Monde (ce mois-ci, en janvier 2023) et encore plus récemment Bonux.
Ces trois marques ont un point commun : elles ont toutes les trois une solide notoriété et les consommateurs ne les ont pas oubliés.
Ces retours à la vie peuvent d'ailleurs rapporter gros. Plutôt que de consacrer d'importants d'efforts sur la création - avec le risque d'en faire un flop - certains décident de capitaliser sur cette notoriété encore très forte auprès des consommateurs pour les relancer.
Et pour réussir leur retour, ces marques misent sur une stratégie de communication bien ficelée afin une ambition, celle de nous faire voyager dans le passé.
Voici 3 marques récentes qui font leur retour après quelques années de disparition
Bonux
La marque de lessive créée en France dans les années 50 s'est bâti une solide notoriété à l'époque grâce au cadeau à l'intérieur du paquet. À l'époque, la technique marketing était bien rodée.
La marque avait connu une première disparition au début des années 1990 avant de revenir dans les années 2000 et de disparaître complètement en 2012.
Merveilles du Monde
La marque star des enfants dans les années 80/90 signe un retour tonitruant, appuyé notamment par un fort engagement sur les réseaux sociaux. Ce retour est rendu possible par Krokola qui a imaginé une campagne de crowdfunding pour relancer la marque.
Pour son retour en 2023, Merveilles du Monde vise la vente de 300 000 tablettes. Et comme dans les années 80, chaque tablette renfermera un coloriage et un quizz autour du cacao.
Figolu
Revenu dans les rayons en 2020 après 5 années d'absence, Figolu est réapparu dans les rayons après que les fans de la marque reprochent à son remplaçant - une version en barre - dont la recette, son packaging et sa texture, qui n'étaient pas du goût des habitués.
Les fans ont fini par convaincre l'industriel de relancer sa production et de recommercialiser. Une pétition avait même rassemblé plus de 10 000 signatures en 5 ans.
